Access Atlanta
15 mai 2009/May 15th, 2009
Traduction française/French translation
Transcription anglaise/English transcript
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By Rodney Ho
Actor Dean Cain is best known over the years as Superman on the ABC show in the mid-1990s. He also hosted “Ripley’s Believe it Or Not” on Atlanta-based TBS from 2000 to 2003. And he’s guested on many TV shows (”Hope and Faith,” “Las Vegas”) and starred in dozens of films over the years including “The Laci Peterson Story,” “Out of Time” with Denzel Washington and “Best Man” with Luke Wilson and Drew Barrymore.
I spoke with him at the Georgian Terrace earlier this week prior to a screening at the Fox Theatre of an indie film he starred in called “The Way Home.” The film is based on a real-life story of Randy Simpkins (left, with Cain), a Carrollton utility contractor who discovers his faith after his son goes missing for eight hours and the city helps him find the boy.
It’s definitely low budget (at about $1 million, much of the budget going to Cain.). And Simpkins says they are in talks with distributors for a fall release. The film sounds like something Lifetime or Hallmark might pick up, too.
Cain and I went to the same college and we shot the breeze about that a bit before getting down to gabbing about the film.
He said the script made him teary-eyed, especially since he’s a single father himself. “There are certain depths of experiences you have once you have a child,” he said. “You can sort of substitute your feelings. You can draw upon that.” He noted that the movie, with only very minor details changed, was the true story back in 2000.
And better yet, they shot the film at the Simpkins 80-acre home. “We searched the fields they searched in years ago,” he said. “It gave it some added weight.” Simpkins hovered the entire time. (Indeed, he hovered while I talked to Dean.)
In one sense, he said it wasn’t an easy film to shoot, given the tough subject matter. But it had some “fantastic” moments as well.
Cain has tried scripted TV a few more times since “Lois & Clark” including a lead role in the CBS drama “Clubhouse” five years ago, which was axed quickly. “I would have cancelled it, too,” he said. “It just turned out to be a different show than I had anticipated.” And when he got a recurring role as the casino owner on NBC’s guilty pleasure show “Las Vegas” in 2006, they ended up going with Tom Selleck for a full-time job instead once James Caan left. He tried some pilots, too, that never got picked up.
He said he’d prefer to do a TV role if it’s an ensemble cast, not a lead role. “I coach my son,” he said. “I go on field trips. We spend weekends together. I’m taking him to work on Thursday.”
His thoughts on “Smallville,” the CW drama about Superman that has lasted longer than “Lois & Clark” and will be back for season nine this fall. “I heard the concept and didn’t think it would make it past one season,” he said. “But when I saw what they did and how they reinvented what they did, I was impressed. It’s a fantastic success. I even did an episode for it. It was a lot of fun.”
Has he ever met the late great Christopher Reeve? “No. I never had the opportunity. But I met his family and done stuff for his foundation.”
Would he ever do “Desperate Housewives” with his former “Lois & Clark” mate Teri Hatcher? “Marc [Cherry, the executive producer] and I are friends. He’s never done that to me. I politely told Marc that’s not my cup of tea. I don’t watch that type of show. I would act but I’ve only seen the pilot… I’d rather be watching an NBA or NFl game or the History or Discovery channels.”
Would he do “Dancing With the Stars”? “No. Sorry. My football heroes Jerry Rice and Emmitt Smith have done it. Bless them. The sequins. The permatans and permagrins. That’s also not my cup of tea.”
Drama, he notes, is more his strong point. Traditional sitcoms? Not so much. But he does envy the lifestyle: “They work fantastic hours. They have a lot of fun. But it’s not my comfort zone.”
The trailer of the film is at www.thewayhome-movie.com.
Simpkins, in a separate interview, said the changes to real life in the film were minor. For instance, they did not dredge the lake. And they did not find the wrong boy at first. Those were added for dramatic effect. But the movie reflects that Simpkins was “not the greatest dad in the world” at the time.
“It wasn’t a conscious effort to shun my family,” he said. “I got caught up in my career.” He justified the long hours by saying he was “providing for my family.”
He believes his son’s disappearance was God’s way of straightening out the priorities of his life. He cut back hours at his company and even allowed revenues to drop off. He stopped working Saturdays and went to the ballfield and coached his son. He became a county commissioner, too.
His two-year-old son was absent for seven hours, walking a mile and a half. Hundreds of people in town looked for him on their property.
L'acteur Dean Cain est devenu célèbre grâce à son rôle de Superman, qu'il a campé dans la série diffusée sur ABC dans les années 1990. Il a aussi animé la série “Ripley’s Believe it Or Not” sur la chaîne TBS, basée à Atlanta et qui a été diffusée de 2000 à 2003. Il a aussi fait des apparitions spéciales dans plusieurs séries télé (Hope & Faith” et “Las Vegas”) et a filmé des douzaines de films au fil des ans, dont “The Laci Peterson Story,” “Out of Time”, mettant en vedette Denzel Washington et “Best Man” avec Luke Wilson et Drew Barrymore.
Je me suis entretenu avec lui au restaurant Georgian Terrace plus tôt cette semaine, avant la diffusion de son tout nouveau film indépendant au Théâtre Fox, intitulé “The Way Home.” Le film est basé sur l'histoire réelle de Randy Simpkins (sur la photo, à gauche, avec Cain), qui est un entrepreneur général originaire de Carrollton qui redécouvre sa foi après que son fils ait disparu pendant huit heures, les habitants de la petite communauté l'aidant dans ses recherches pour retrouver le garçon.
C'est définitivement un film à petit budget (environ 1 000 000 $, la plus grande partie de la somme étant allouée au salaire de Cain). Simpkins dit qu'ils sont en négociation avec des distributeurs pour avoir une sortie en automne. Le film pourrait aussi être acheté par des chaînes comme Lifetime ou Hallmark, aussi.
Cain et moi avons fréquenté le même collège et nous en avons discuté un peu avant de s'attaquer au coeur du sujet : le film.
Il dit que le script du film lui a donné la larme à l'oeil, surtout qu'il est lui-même un père célibataire. “Il y a un certain niveau d'expérience que l'on atteint une fois que l'on a un enfant,” dit-il. “Il est possible de passer outre ses sentiments pour le bien d'autrui, ça se fait tout seul.” Il fait la remarque que ce film, à quelques détails près, est conforme à ce qui est arrivé en 2000.
Mieux encore, ils ont tourné le film dans la maison des Simpkins, sur le terrain qui fait plus de 80 acres. “Nous avons fouillé les mêmes champs qu'ils ont fouillé lors des recherches,” dit-il. “Ça a donné du poids à la production.” Simpkins les a supervisé tout le long du tournage. (C,est le cas de le dire, il nous écoutait d'une oreille alors que je parlais avec Dean.)
En un sens, il a déclaré que ce ne fut pas un film facile à tourner, étant donné le sujet traité. Ça a aussi donné lieu à des moments “fantastiques”.
Cain a réessayé la télévision scriptée quelques fois depuis la fin de “Lois & Clark”, incluant un rôle principal dans la série dramatique “Clubhouse”, diffusée sur CBS, il y a de cela cinq ans. Elle a rapidement été retranchée des ondes. “Je l'aurais annulé moi aussi,” admet-il. “C'était différent de ce que à quoi je m'attendais.” Il a aussi eu un rôle récurrent en 2006 dans la série ''Las Vegas'' en tant que propriétaire du casino, la production arrêta son choix sur Tom Selleck pour un rôle à temps plein une fois que James Caan quitta le plateau de tournage. Il a tourné des pilotes de séries, mais ils ne furent jamais choisis.
Il dit qu'il préfère faire de la télévision quand c'est un ensemble de personnages que l'on suit, pas seulement quelques rôles principaux. “Je montre les secrets du métier à mon fils,” dit-il. “Nous allons faire des petits voyages ensemble. Nous passons nos fins de semaine ensemble. Je l'emmène avec moi sur le plateau jeudi.”
Son opinion à propos de “Smallville,” la série produite par CW à propos de Superman quand il était jeune a duré plus longtemps que “Lois & Clark” et sera de retour cet automne pour une neuvième saison. “J'ai entendu parler du concept et je ne croyais pas que la série allait survivre à la première saison,” admet-il. “Mais par la suite, j'ai vu ce qu'ils ont fait et comment ils ont réinventé le mythe, j'ai été impressionné. C'est un grand succès. J'ai même tourné un épisode. Ça a été une partie de plaisir.”
A-t-il déjà rencontré le grand Christopher Reeve? “Non. Je n'en ai jamais eu la chance. J'ai par contre rencontré sa famille et j'ai fait des choses pour sa fondation.”
Serait-il possible qu'il aille un jour sur le plateau de “Beautés désespérées” avec son ancienne partenaire Teri Hatcher, de ''Lois & Clark'' ? “Marc [Cherry, le producteur exécutif] et moi sommes amis. Il ne l'a jamais fait. Je lui ai dit poliment que ce n'était pas mon genre. Je ne regarde pas ce type de série télé. Je pourrais y participer, mais j'ai seulement regardé l'émission pilote… Quand je suis devant la télé, je préfère de loin regarder un match de la NBA ou de la NFL, ou encore un documentaire sur la chaîne History ou Discovery.”
Ira-t-il un jour “Danser avec les stars ”? “Non, désolé. Mes héros du football, Jerry Rice et Emmitt Smith, se sont prêtés au jeu. Je suis content pour eux. Les paillettes et les chorégraphies, ce n'est pas ma tasse de thé.”
Les séries dramatiques, dut-il, sont plus intéressantes. La sitcom traditionnelle ? Pas vraiment. Mais il envie leur style de vie : “Ils ont un horaire fantastique. Ils ont beaucoup de plaisir. Je ne serais pas à l'aise de faire ça.”
La bande-annonce de son film peut être visionnée à cette adresse : www.thewayhome-movie.com.
Simpkins, dans une entrevue séparée, a dit que les changements qui ont été apportés à l'histoire sont mineurs. Par exemple, ils n'ont pas fouillé le lac et ils n'ont pas trouvé le mauvais enfant au lieu du sien. Ces éléments ont été ajoutés pour l'effet dramatique. Mais le film réflète bien le point que Simpkins n'était pas “le meilleur père au monde” au moment où les événements se sont passés.
“Je n'étais pas conscient du fait que je m'éloignais de ma famille,” dit-il. “J'étais préoccupé par ma carrière professionnelle.” C'est avec cette excuse qu'il justifiait ses longues de travail, en ''travaillant pour faire vivre sa famille”.
Il croit maintenant que la disparition de son fils était la façon de Dieu de lui faire signe pour qu'il réajuste ses priorités. Il a diminué sa cadence de travail et il s'est même permis de générer mins de profits pour être présent pour sa famille. Il a arrêté de travailler les samedis et il a commencé à aller au parc avec son fils pour jouer au baseball. Il s'implique aussi dans la vie scolaire de sa communauté.
Son fils de deux ans a disparu pendant sept heures, il a marché près de 2 kilomètres. Des centaines de citoyens l'ont aidé à chercher son fils sur sa propriété.
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